Assainir le pouvoir du dominateur par la fleur de Bach n°32
L’individu dominateur a du pouvoir. Il n’est pas pour autant admiré comme le serait un leader. Au contraire, c’est une personne toxique avec laquelle il est difficile d’avoir des relations apaisées ou harmonieuses. Par la fleur de Bach Vigne, vous pouvez canaliser votre propension à dominer les autres pour devenir un leader.
On ne retient du dominateur que son exercice du pouvoir sur les autres. Derrière son pouvoir démonstratif et son raisonnement intelligent et rationnel se cache un malêtre profond fait de peur et de vulnérabilité. S’il ne montre pas ses émotions ni ses désirs, c’est parce qu’il les craint. Il étouffe ses sentiments, voire son univers intérieur, car cela représenterait une menace. Le dominateur se montre intellectuel et intelligent. Tellement rationnel, il peut tout justifier ou expliquer. Sa domination lui permet de se sentir en sécurité. Pour cela, il éprouve le besoin de contrôler les autres.
Le dominateur est un être craint et respecté même s’il n’a pas la reconnaissance ni l’aura dont bénéficie un leader. C’est quelqu’un de très actif qui aime les défis. Quand il y a de l’enjeu, il se sent à son aise et fait le nécessaire pour atteindre son but en appliquant une stratégie élaborée. Il est prêt à faire des efforts immenses pour surmonter les obstacles qui se dressent devant lui. En allant jusqu’au bout de ses actes et de ses idées, le dominateur arrive à imposer son point de vie.
Le souci avec un dénominateur est que les autres ne sont pas prédisposés à être tout le temps dominés. Le pouvoir ou la hiérarchie est remis en cause et le conflit éclate quand il y a une velléité d’affirmer sa propre personnalité et de se libérer du pouvoir oppressant. En suivant un traitement de fleur de Bach n°32 ou Vigne, le dominateur peut apprendre la tolérance et l’indulgence afin d’améliorer ses relations avec autrui. Il ne va plus imposer ses idées et sera à l’écoute. Il exerce son autorité de manière saine. Il peut se mettre au service des autres.
